Événement

Ministère des Moudjahidine: réunion de coordination avec les membres de l’ONEM

Le ministre des Moudjahidine et des Ayants-droit, Laïd Rebiga, a présidé lundi à Alger, une réunion de coordination avec les membres de l’Organisation nationale des enfants de moudjahidine (ONEM), présidée par son Secrétaire général (SG), Khalfa Mebarak.

Cette rencontre, tenue au siège du ministère, s’inscrit dans le cadre de la coopération entre le ministère et l’organisation pour la concrétisation de différents programmes dans les volets historique et social, visant à préserver la mémoire nationale d’une part, et à assurer la protection sociale des enfants de moudjahidine et des ayants-droit d’autre part.

Dans son allocution d’ouverture, le ministre a salué le rôle joué par l’organisation dans « la préservation des valeurs et des principes de la Révolution de libération nationale ».

La réunion a également été l’occasion d’examiner plusieurs questions, notamment la prise en charge socio-médicale de cette catégorie, outre les programmes mis en place dans le cadre de la commémoration des événements historiques et de la célébration des hauts-faits des artisans de la gloire de l’Algérie.

Lors de cette réunion à laquelle ont assisté des cadres de l’administration centrale, le ministre des Moudjahidine a écouté les interventions des membres de l’organisation, soulignant à cette occasion que « d’autres rencontres seront organisées pour examiner tous les dossiers, portant essentiellement sur la protection sociale des enfants de moudjahidine et des ayants-droit ».

A ce propos, il a fait savoir que son secteur « poursuit la mise en œuvre des orientations du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, concernant la protection médicale des enfants des moudjahidine et des ayants-droit et la prise en charge socio-sanitaire au niveau des centres de repos des moudjahidine et du Centre national d’appareillage des invalides et des victimes de la Révolution de libération nationale et des ayants-droit ».

Le ministère continuera également, poursuit M. Rebiga, « à mettre en œuvre des programmes pour la commémoration des événements historiques majeurs, en coordination avec les institutions sous tutelle à travers le pays ».

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