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La «question des prisonniers» exploitée par les sionistes

La «question des prisonniers» exploitée par les sionistes afin de légitimer le fait de tuer, de blesser, de mutiler, d’affamer et de traumatiser les Palestiniens à Ghaza, a provoqué l’ire de la rapporteuse des Nations unies (ONU) sur la Palestine, Francesca Albanese, sur la plateforme X, reprise par l’agence Wafa.Dans une publication sur «X» reprise, hier, par l’agence de presse Wafa, Albanese a dit que l’entité sioniste aurait pu libérer tous les prisonniers, vivants et intacts, depuis 8 mois, lors du le premier cessez-le-feu profitant de cette opportunité pour l’échange de prisonniers qui a été mis sur la table. Or, l’entité sioniste a poursuivi sa destruction de Ghaza et ses tueries contre les Palestiniens en tant que peuple, déplore-t-elle et accuse les sionistes d’intention génocidaire transformée en action. C’est «clair comme de l’eau de roche», a noté Francesca Albanese.Samedi dernier, les forces d’occupation ont commis un massacre dans le camp de Nuseirat, entraînant la mort de 210 civils palestiniens et la blessure de plus de 400 autres, sous prétexte de libérer 4 prisonniers sionistes, a indiqué Wafa notant que les forces d’occupation poursuivent leur offensive dévastatrice contre Ghaza par voie terrestre, maritime et aérienne depuis le 7 octobre 2023, entraînant la mort en martyrs d’environ 37.000 Palestiniens, dont une majorité d’enfants et de femmes, et la blessure de plus  83.000 autres, tandis que des milliers de victimes restent sous les décombres et sur les routes.

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