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Ghaza: plus de 200 juristes appuient la plainte de Pretoria devant la CIJ contre l’entité sioniste

Plus de 200 professeurs et experts en droit international ont annoncé, jeudi, leur plein soutien et appui à la plainte intentée par l’Afrique du Sud devant la Cour internationale de justice (CIJ) contre l’entité sioniste, pour crimes et violation de la Convention sur le génocide de 1948, à Ghaza.

Dans une lettre ouverte reprise par l’agence de presse Wafa, les juristes ont déclaré qu' » en tant qu’universitaires et praticiens du droit international, des études sur le génocide, des études internationales et des domaines similaires liés à la justice mondiale, nous exprimons notre plein soutien à la plainte intentée par l’Afrique du Sud devant la CIJ », notant qu’une telle démarche est de nature à permettre un cessez-le-feu à Ghaza.

Mercredi, la vice-Première ministre belge, Petra De Sutter, a fait part, elle aussi, de son soutien à la plainte déposée par Pretoria  devant la (CIJ), soulignant que « la Belgique devrait agir de même ».

« Nous devons agir contre la menace de génocide à Ghaza. Je souhaite que la Belgique agisse devant la CIJ, à l’instar de l’Afrique du Sud. Je proposerai cela au sein du gouvernement belge », a-t-elle écrit dans un message posté sur la plateforme X (anciennement Twitter).

De son côté, l’Indonésie a apporté son soutien à l’action intentée par l’Afrique du Sud contre l’entité sioniste devant la (CIJ).


Lire aussi: CIJ: début de l’examen de la plainte sud-africaine contre l’entité sioniste pour génocide à Ghaza


« Tant sur le plan moral que politique, l’Indonésie soutient pleinement l’initiative de l’Afrique du Sud visant à pousser la CIJ à réagir au génocide à Ghaza », a déclaré Lalu Muhammad Iqbal, porte-parole du ministère indonésien des Affaires étrangères.

Le 29 décembre dernier, l’Afrique du Sud avait intenté une action devant CIJ, affirmant que « l’entité sioniste avait violé la Convention des Nations unies de 1948 pour la prévention du crime de génocide ».

L’audience sur l’examen par la Cour internationale de justice (CIJ) des « mesures conservatoires » demandées par l’Afrique du Sud, a débuté jeudi à La Haye.

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