Culture

Un regard créatif sur la scène littéraire du Qatar

Perdez-vous dans une bibliothèque de livres rares datant du XVe siècle et suivez les élégants coups de pinceau aux touches abstraites de la calligraphie arabe.Dans cet épisode, l’équipe de Qatar 365 aborde la littérature sous un angle créatif. Laila Humairah rencontre un caricaturiste pour apprendre à raconter une histoire à travers l’image et visite le musée d’art islamique de Doha pour découvrir une collection de livres rares. Johanna Hoes rencontre deux innovateurs dans le domaine de la calligraphie, dont la vision moderne de l’art millénaire de l’écriture rend la pratique traditionnelle de la peinture avec les mots adaptée au XXIe siècle.Qatar 365 explore le monde infini de la littérature, qu’il s’agisse d’inciter les enfants à lire et à passer plus de temps dans les bibliothèques ou de s’initier à la calligraphie arabe.Dans cet épisode, l’équipe de Qatar 365 découvre comment le pays encourage les jeunes et les moins jeunes à accorder une place importante à la lecture dans leur vie et à explorer l’art de la calligraphie.  Aadel Haleem, Laila Humairah et Johanna Hoes ont visité la bibliothèque nationale du Qatar, les studios de design Liwan, le musée d’art islamique et des mosquées publiques pour découvrir comment la littérature est utilisée comme forme d’expression.Laila Humairah a visité la bibliothèque nationale du Qatar, qui organise régulièrement des activités visant à inculquer l’habitude de la lecture aux enfants. Elle a récemment adopté une mascotte officielle, Ramly, un personnage inspiré du renard du désert d’Arabie. Ebrahim Al-Bishri, bibliothécaire principal à la BNQ, a expliqué à Laila que Ramly a été créé pour inculquer aux enfants du Qatar le même esprit de curiosité et d’aventure que celui de l’animal.Aadel Haleem a rencontré Sheikha Reem Al Thani des musées du Qatar au Liwan Design Studios à Msheireb. Il s’agissait autrefois du bureau d’Amna Mahmoud Al Jaidah, fondatrice et directrice de la toute première école pour filles du Qatar. Sheikha Reem a fait découvrir à Aadel une exposition de documents d’archives datant de 1938 et la manière dont ils sont utilisés pour mettre en évidence l’impact de l’école sur plusieurs générations de femmes qataries.Enfin, Johanna Hoes s’est essayée à la calligraphie arabe au Musée d’art islamique, où elle a découvert la complexité de la tâche. Combinaison des mots grecs « kallos » et « grafo », la calligraphie signifie littéralement « belle écriture ». Cette forme d’art remonte à des milliers d’années, mais elle est encore enseignée dans les salles de classe aujourd’hui. Les traits élégants de la langue arabe jouent également un rôle central dans l’architecture et le design, comme en témoignent les façades et les intérieurs des mosquées dans tout le pays.

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