Événement

UIP: la réunion de coordination du Groupe arabe intervient dans une période « critique » pour la nation arabe et la cause palestinienne

Le président de l’Union interparlementaire

arabe (UIPA), président de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Brahim
Boughali, a souligné que la réunion de coordination du Groupe parlementaire
arabe, tenue en marge des travaux de la 149e session de l’Union
interparlementaire (UIP), intervient dans une période « critique » pour la
nation arabe et la cause palestinienne.
Présidant la réunion de coordination, M. Boughali a affirmé que ces
circonstances « exceptionnelles et sans précédent », imposées par l’entité
sioniste usurpatrice, « doivent nous inciter à faire preuve de plus de
solidarité et à réaffirmer notre position inaliénable en faveur des droits
légitimes du peuple palestinien ».
« Le devoir nous impose d’être pleinement disposés à y faire face et à
relever tous les défis et menaces non-négligeables auxquels notre nation
est confrontée », a-t-il soutenu, mettant l’accent sur l’impératif
d’exploiter toutes les tribunes disponibles et d’activer la diplomatie
parlementaire arabe à tous les niveaux pour une coordination et une action
col
lective avec les autres groupes islamiques, asiatiques, africains et
latino-américains, ainsi qu’avec tous les pays soutenant la cause
palestinienne, à travers l’adoption d’une clause d’urgence que le Groupe
arabe soumettra en guise de pas symbolique reflétant l’éveil de la
conscience humaine à travers la voix des peuples dans cette tribune
parlementaire et le ralliement du droit contre l’injustice et
l’oppression ».
M. Boughali a, dans ce cadre, réitéré son appel à la communauté
internationale et aux organisations régionales et internationales pour
adopter des positions « fermes » vis-à-vis de ces violations et pratiques
sionistes barbares contre les civils en Palestine et au Liban, mais aussi
pour imposer des mesures juridiques « dissuasives ».
Et de souligner que « notre responsabilité en tant que parlementaires ne se
limite pas à légiférer, mais s’étend à la protection de la dignité humaine
et à la réalisation de la justice. Soyons donc la voix de la vérité et le
porte-étendard de la paix, et que notre legs soit l’espoir d’un changement
positif et de la réalisation de la justice et l’égalité devant la loi ».

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