POLE UNIVERSITAIRE DE KOLEA: Inauguration des 1ers bureaux d’études commerciales
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a procédé dimanche au pôle universitaire de Koléa (Tipasa) à la mise en service des premiers bureaux d’études commerciales appelés à contribuer au développement économique de l’Algérie. Il s’agit de l’inauguration de quatre (4) bureaux d’études, respectivement à l’Ecole des hautes études commerciales (EHEC), l’Ecole supérieure de commerce (ESC), l’Ecole nationale supérieure de la statistique et de l’économie appliquée (ENSSEA), et l’Ecole supérieure de gestion et de l’économie numérique (ESGEN), outre la mise en service d’un bureau d’expertise à l’Ecole nationale supérieure de Management (ENSM). Dans sa déclaration à la presse à l’occasion, M. Baddari a estimé que l’entrée en service de ces bureaux, « permettra à l’Université algérienne de « franchir un nouveau pas concret dans sa transition vers un nouveau mode de gestion de 3e génération, qui impose au secteur de l’enseignement supérieur d’être au diapason des besoins sociaux et économiques de son environnement ». Le ministre a aussi exprimé sa « satisfaction » à l’égard de la concrétisation de ces projets, soulignant que ces bureaux d’études « jouissent d’une autonomie totale qui leur permettra d’être concurrentiels sur le marché de l’expertise et des études technico-commerciales et économiques, selon la spécialité, les compétences et les aptitudes de chaque bureau ». « La 2e étape de l’opération consistera en l’ouverture de bureaux d’études au niveau des écoles supérieures dédiées aux technologies, avant leur généralisation au reste des établissements universitaires », a ajouté M. Baddari qui s’est dit « optimiste » quant à la réussite de ces bureaux. L’inauguration de ces bureaux d’études commerciales au pôle universitaire de Koléa s’inscrit dans le cadre des orientations du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, en vue de faire de l’université « la locomotive du développement socio-économique du pays », a souligné le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Il a estimé que cette orientation « s’adapte à l’université moderne de par le monde ».