« Le choix de la presse électronique comme thème pour cette nouvelle session de formation traduit le grand intérêt accordé par l’Etat à la numérisation et à la presse alternative qui caractérise de plus en plus notre époque et qui devient une fatalité (…) C’est pourquoi, nous sommes appelés à, doublement, accompagner cette évolution par la mise en place du cadre législatif et par la formation ».
C’est par ces termes que, dans son allocution d’ouverture, le ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani, a procédé à l’inauguration, ce mardi au Centre international de presse (CIP), d’une session de formation dédiée à la presse électronique, organisée par le ministère de la Communication en collaboration avec l’Ecole supérieure de journalisme et des sciences de l’information ainsi que le CIP.
Une session qui s’ouvre, pour trois jours, du 2 au 4 mai courant, à la veille de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse dans un contexte du tout numérique et la prolifération, à l’internationale, de la presse de propagande tous azimuts dans un monde en pleine mutation et caractérisé par les guerres de quatrième gébnération.
C’est pourquoi, le ministre a tenu à souligner « toute l’importance accordée par l’Etat à la numérisation et la digitalisation de nombre de secteurs pour plus de transparence dans la gestion des affaires publiques dans l’esprit de la bonne gouvernance ».
Une inauguration faite en présence du directeur général du CIP, Mourad Benredoune, de celui du CNDPI (Centre national de documentation de presse, d’images et d’information), des membres de l’ARAV (Autorité de régulation de l’audiovisuel), d’enseignants formateurs de l’Ecole supérieure de journalisme et des sciences de l’information ainsi qu’un nombre de journalistes dont des candidats à cette formation de la presse électronique accréditée.